- #danse
C'est toi qu'on adore
Création 2020
Elles sont deux mais pourraient être cent ou mille. Ensemble, elles s’élancent bancales, malades ou parfois heureuses, et s’engagent peut-être pour le meilleur mais probablement pour le pire. Contre elles une adversité que l’on devine mais dont on ne sait rien. Héroïnes, tour à tour invincibles ou tragiquement vulnérables, elles avancent, résistent, s’effondrent parfois, mais s’évertuent inlassablement à lutter jusqu’à l’épuisement des forces que l’on sent poindre. Dans une trajectoire sinueuse faite de moments de victoires et de faiblesse où se mêlent autant d’espoir que de désillusion, « C’est toi qu’on adore » est un cri d’espoir où le corps exulte ce qu’il a de plus cher, cette pulsion de vie qui nous tient debout.
Distribution :
Chorégraphie : Leïla Ka
Interprétation : Leïla Ka & Jane Fournier Dumet ou Jennifer Dubreuil Houthemann (en alternance)
Création lumière : Laurent Fallot
Production : Compagnie Leïla Ka
Diffusion : CENTQUATRE-PARIS
Coproductions et soutiens : Centre des Arts d'Enghien-les-Bains - Scène conventionnée ; L’étoile du nord - Scène conventionnée (Paris) ; Espace 1789 - Scène conventionnée (Saint-Ouen) ; La Becquée – Festival de danse contemporaine (Brest) ; Incubateur IADU / La Villette Fondation de France 2019 (Paris) ; Le Théâtre, scène nationale de Saint-Nazaire ; Micadanses (Paris) ; CENTQUATRE-PARIS - Laboratoire Des Cultures Urbaines Et Espaces Publics ; Sept Cent Quatre Vingt Trois / Cie 29.27 (Nantes) ; Conseil Départemental de la Loire-Atlantique ; Région des Pays de la Loire ; Compagnie Dyptik (St-Etienne) ; La 3’e / Communauté de Communes de l'Ernée.
Ce spectacle est en tournée avec le CENTQUATRE ON THE ROAD.
Leïla Ka est en résidence longue à L'étoile du nord, scène conventionnée d’intérêt national art et création pour la danse, est artiste associée au CENTQUATRE-PARIS et est accompagnée par le réseau Tremplin jusqu'en 2024.
Dans la presse
Ce serait peu dire que d'évoquer les frissons libérés par "l'écoute" de ce corps dansé magistralement dédoublé, figurant les nôtres, à la recherche vitale d'une identité confisquée. Un corps libéré des emprises extérieures, un corps non assujetti aux désirs des autres, mais ivre de lui-même.
Yves Kafka, La Revue du Spectacle