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Les vagues, les amours, c’est pareil

22 > 25.01.2020

dans le cadre du festival Les Singuliers

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Trois ans avant son suicide en 2008, David Foster Wallace prononce une allocution sobrement intitulée C’est de l’eau. La parole claire et limpide de l’écrivain américain inspire Marie Vialle qui, avec Les vagues, les amours, c’est pareil, livre ses leçons sans morale, pour apprendre à regarder la vie avec clairvoyance.


Rencontre

Le samedi 25 janvier à 16h, jour de clôture du Festival des Singuliers, nous vous invitons à venir assister à une conversation croisée entre Marie Vialle et Camille Froidevaux-Metterie, autrice de Le corps des femmes. La bataille de l'intime (2018), philosophe féministe, professeure de science politique et chargée de mission égalité-diversité à l'Université de Reims.

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Tarifs

  • plein tarif 18 €
  • tarif réduit 15 €
  • tarif adhérent 10 €
  • tarif abonné 10 €
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Infos pratiques

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durée indicative : 1h

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Dans la presse

Marie Vialle est bien plus qu'une actrice : elle est une déesse grecque ou une chamane, capable de nous envoûter tous. Mais sans faste et sans façons, sans se prendre au sérieux.

Emmanuelle Bouchez, Télérama

Face à un parterre d’étudiants fraîchement diplômés du Kenyon College dans l’Ohio, David Foster Wallace semble prévenir, trois ans avant son suicide, qu’il y a bien une vie avant la mort et invite l’assemblée à reconsidérer l’intensité et l’éclat du quotidien. « J’ai eu envie de mettre ce texte en mouvement » y répond Marie Vialle. La tribune de la metteuse en scène et comédienne est autonome, libre et légère, autant que défaillante et vulnérable. Seule sur la scène, infiltrée derrière un rideau perlé, c’est son corps qui se fait l’écrin des blagues et anecdotes que l’écrivain parsème entre ses leçons de vie. Les vagues, les amours, c’est pareil n’est pas un monologue à la première personne, c’est une adresse directe. Marie Vialle, par les mots qu’a laissés David Foster Wallace, nous encourage à générer du savoir jour après jour, hors du confinement des livres, dans l’errance et le doute, en se frottant à la grâce comme à la banalité du monde.

Distribution

mse en scène et interprétation : Marie Vialle
texte : Marie Vialle, d'après C’est de l’eau, un discours de David Foster Wallace
scénographie, costume : Chantal de La Coste
travail vocal : Dalila Khatir

création lumière : Yves Godin
création son : Nicolas Barillot
collaboration artistique : Clémence Galliard, Dalila Khatir, Chantal de La Coste
couturière : Géraldine Ingremeau


Artistes
Vialle

Marie Vialle

Artiste associé·e

De la scène au cinéma, il n’y a qu’un pas pour Marie Vialle, qui a fait ses armes dans les mises en scène de Didier Bezace, Luc Bondy, Alain Françon ou David Lescot, comme dans les films Les Inséparables de Christine Dory ou La Parenthèse enchantée de Michel Spinosa. En 2003, elle adapte et interprète Le Nom sur le bout de la langue de Pascal Quignard. S’en suit une complicité avec l’écrivain et la signature de trois mises en scène de ses textes, dont La Rive dans le noir au festival d’Avignon en 2016. Sous l’œil et la finesse de Marie Vialle, aujourd’hui artiste a...

Production et soutiens

Production: Le CENTQUATRE-PARIS - Coproduction: Sur le bout de la langue - Avec le soutien du Quai -CDN Angers Pays de la Loire, La Chartreuse CNES, Princeton University et le loKal. Remerciements au Théâtre du Rond-Point, à Thierry Decroix. Ce spectacle est en tournée avec le CENTQUATRE ON THE ROAD.

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